Le 3 juin, un mardi, mourut Franz Kafka. Le lundi soir Franz allait très bien. Il était gai, montrait de la joie pour tout ce que Klopstock avait apporté de la ville, mangea des fraises et des cerises, les sentit longtemps, profita de leur odeur, comme en général, il profita durant les derniers jours de tout avec une intensité redoublée. Il désirait qu’on but devant lui de l?eau (ou de la bière) à longues gorgées, ce qui lui était impossible ; il se réjouissait du plaisir des autres. Il parla beaucoup dans ces derniers jours de boissons et de fruits.